Dans la série des questions existentielles du dimanche pendant la digestion ... finalement, pourquoi s'emm* avec des droites de charges au poil de c* quand on voit la tronche de la courbe d'impédance d'un HP, impédance qui va donc être reflétée au primaire de l'OT ?
Finalement, n'a-t-on pas plus vite fait de choisir un point de bias en dessous de la courbe Pa max et pis roule ?
Cela rejoint (peut-être) d'ailleurs des propos que j'ai lu ici ou là, auprès de gens qui ont une certaine réputation (usurpée ? Kevin O'Connors, Tonelizard ...) sur le sujet "je vire 2 lampes de sortie sur 4 de mon ampli PP pour baisser la puissance" et qui disent en substance : "ne vous emm* à adapter l'impédance de sortie, on s'en fout, cela ne joue que sur la bande passante et le son de l'ampli ... ben alors, pourquoi je m'emm* avec les droites de charge, hein ?
2 questions existentielles en une (un peu provocatrice, mais mon esprit cartésien a du mal à intégrer les implications de tout ça ...
Peut-être parce que, si l'on regarde quelques courbes d'impédance de HP, on voit qu'un HP 8ohms à une impédance d'à peu près 8Ohms entre 200 et 500Hz et que le gros de la patate d'une guitare se situe dans cette tranche ? (mais que dire alors des 80Ohms d'impédance à la fréquence de résonance du HP quand celle-ci est un poil au dessus de 100Hz et qu'on avoine sur les cordes basses de la gratte ?)
Je suis tombé sur des articles qui disaient en substance : tracez votre courbe pour (par exemple) 8 ohm et ne vous préoccupez pas trop de la vraie impédance variable du HP. C'est probablement la solution, mais intellectuellement, ça interroge ...
Qu'en pensez-vous ?
