Merci pour les réponses (et désolé pour le HS, on s’éloigne du sujet, cela mériterait peut-être un autre sujet, mais bon).
Disons que, en théorie, quand on interrompt l’impédance de sortie (i.e. elle devient infinie), très rapidement (et même plus vite que ça), il me semble que la tension au sein d’une bobine (et donc d’un transfo) « explose » littéralement : e = Lx di / dt
A la limite, plus c’est rapide, plus le « big bang » de tension est important.
Vos expériences prouvent qu’il ne faut pas prendre à la lettre cette théorie (ou alors, je me trompe sur la « formule », c’est très possible aussi : avec une impédance infinie, si on regarde la droite de charge d’une pentode, un pouillième sur Vg entraine des variations de ouf sur Ua)
En fait, j’aime de moins en moins les master volume qui « castrent » totalement le son d’un ampli ... du coup, sur un petit 20W PP, j’ai mis un atténuateur 12dB avec un switch à 2 positions : 20W / 1W et je me posais la question de l’état de santé de l’OT quand on passe d’une position à l’autre (pendant une fraction de seconde, aucune impédance raccordée au secondaire) : soit on recommande d’éteindre l’ampli, mais la tendance naturelle du zicos bourrin (moi, par exemple

) c’est passer d’une position à l’autre ampli allumé « pour voir » ... mais cela rejoint la discussion sur les jacks à coupure et la résistance de charge.
Bon, je me souviens de Celmo au dernier G5Show, quand je jouais son chouette Dynacord à burnes, qui changeait de cab en en débranchant un pour passer sur l’autre sans émotion apparente ... et sans prob pour l’ampli
